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le 29 mars 2018 les avatars du cléricalisme sous la 5° République - Le catholicisme populaire - la religion populaire en France.
Des cultures populaires
UNE INDISPENSABLE REDECOUVERTE
DU LIEN ENTRE
L'ERADICATION DE LA RELIGION POPULAIRE
et
LE RECUL HISTORIQUE DU CATHOLICISME EN FRANCE, repéré par le très grand sociologue de la classe ouvrière doublé d'un prêtre dominicain LIRE SERGE BONNET Serge Bonnet en 1974, saisie d'écran (jr) sur site Ina démo. A HUE ET A DIA Les avatars du cléricalisme sous la V° République- Paris Le Cerf 1974 Ce livre publié en 1974 est le jalon aussi lucide que toujours d'actualité, d'un moment de convergence entre l'Histoire sociale de la nation française et celle de la crise du christianisme dans les sociétés euromondialisées et spécialement la société française, par un très grand sociologue (notamment de la métallurgie et des ouvriers lorrains) qui est de surcroît un prêtre et un dominicain. Serge Bonnet dénonce dans ce livre la captation oligarchique de la nouvelle bonne piété chrétienne imposée comme exclusive (stricto sensu) par une partie du clergé naïvement passé "à gauche" pour paraître "moderne", repoussant avec dureté et mépris la plupart des modalités séculaires de la "religion populaire", non seulement le christianisme mais une antique et vitale religiosité à valeur anthropologique, entre l'expérience du cosmos et le balisage de la condition de l'homme mortel de la naissance au trépas au fil des cycles de vie, des ans et des saisons.
.
Trois concepts notamment s'avèrent en 2018 plus que jamais indispensables à la compréhension du désembrayage -inachevable ? - de la hiérarchie catholique et du peuple chrétien, au quel est préféré la société telle qu'elle est et va en libérale-libertaire,
-un paradoxal néo-cléricalisme à usage interne à l'Eglise, face aux fidèles, succédant à l'ancien cléricalisme tentant une emprise sur la société, dans laquelle désormais, pour reprendre un mot d'époque, il "s'enfouit",
-le clergé socio-culturel (rééducateur moraliste "de gauche"),
et
-les catholiques festifs.
Nous nous proposons de revenir ici pour en analyser les déterminants et et interroger la pérennité;
Serge Bonnet avance également, dès 1974, et cela me touche beaucoup, des développements très audacieux sur les modalités d'une prolétarisation nouvelle, culturelle, que j'ai personnellement, mais presque vingt ans plus tard, indexée à l'identité négative corollaire du détachement des élites françaises de scène d'avec la nation et l'Histoire de ce pays, devenu une des sociétés les plus vulnérabilisées par la mondialisation.
On connait la suite une désertion massive des églises, voire un vide spirituel que l'expansion islamiste de djihad a le projet stratégique (manifeste et/ou latent) de combler, pensant pouvoir ainsi, au sens de Serge Bonnet, prolétariser une nation entière, séparée d'un millénaire d'identification et de sublimations dans la christianisation singulière et vivante de l'héritage gréco-romain.
Au Lestamp on regrette, pour avoir, dans le cadre dans sa forme antérieure, le LERSCO, croisé Serge Bonnet dans les années 80, lors de séminaires de Michel Verret ou de soutenances de thèse, de n'avoir retenu que ses -si beaux- écrits lorrains et ouvriers (Lhomme du fer).
Aujourd'hui, plus que jamais, il faut lire et relire ce livre ( A hue et à dia...) et complémentairement, sur la religion populaire, la somme publiée après sa mort par Yann Raison du Cleuziou*). On y trouve analysée in vivo et pourtant dans une réflexivité de temps long qui résiste intégralement au quasi demi siècle écoulé, ce que l'on peut considérer comme la matrice proprement ecclésiale d'un désastre chrétien (?) en France.
Est-il besoin, en 2018, dans les affres de massacres et de mensonge déconcertant, toutes ses tragiques conséquences d'un vide spirituel appelant comme physiquement le pire d'une autre religion retrouvant l'opium d'un djihad violent, prenant, (dans le fil des terrifiante héritages que l'on croyait repoussés à jamais, des totalitarismes déshumanités du 20° Siècle), une modalité barbare qui tend à devenir la spécificité d'une époque de déni et de fausse conscience déracinée, la radicale fascination de l'usage de la violence.
jacky REAULT
___________ Une récente rediffusion de la pensée anthrologique de Serge BONNET,
*Yann Raison du Cleuziou « Serge Bonnet, Défense du catholicisme populaire » (édition établie et présentée par.. -Préface de Daniel RONDEAU), Paris, Cerf, 2015, Hélas 706 p, 39 €.
UNE COMPILATION INEDITE ET DEUX EDITIONS, un évènement dans les sciences sociales
par J REAULT
Le retour en grâce de la "religion populaire", la fin d'un tabou dans les sciences sociales ? (Publié sur Amazone)
Traqué tant par la partie partisane du clergé moderniste que par le sociologisme antireligieux, le concept de religion populaire pourtant merveilleusement construit par Alphonse Dupront, médiéviste, immense historien de l'idée de croisade, n'a été défendu pendant la traversée du désert du catholicisme en France, (où s'imposent des visions élitistes d'une gauche catholique méprisant le peuple et décidant à partir de 1984 de s'en séparer en le disqualifiant sous la honte du "populisme", voire du "paganisme"), que par une poignée de savants. Serge Bonnet était de surcroît dominicain, l'exception dans le mode d'un Ordre qui compta beaucoup plus de modernistes de la fuite en avant derrière l'air du temps sociétal.
La réédition de sa sociologie et de sa théologie du catholicisme populaire qui s'inscrit également sur le socle anthropologique plus large de la "religiosité populaire", est une grande nouvelle pour la société française tout entière et pour son avenir, réagissant aux si puissantes forces de dilution et à l'agression d'un Islam de Djihad.
Mais c'est aussi une marqueur important dans le devenir donc l'histoire des sciences sociales. La compilation qui est ainsi proposé par un sociologue de la religion spécialiste du catholicisme français, éditée en 2015 a été réédité en 2016. C'est une très belle nouvelle, tellement à contre temps de la "radicalisation" de l'air du temps : Peut-être ne faut-il donc plus désespérer de la sociologie encore monopolisée (dans les institutions, notamment celle du recrutement, le CNU) par un clan sectaire refoulant toute pensée libre qui ne sacrifie pas à l'enfermement idéologique, de la "domination", du "gender" des dites "popular (alias globish) studies", etc.
Défense du catholicisme populaire Broché – 20 février 2015
de Serge BONNET (Auteur), Daniel Rondeau (Postface), Yann Raison du Cleuziou, (Commentaires)
- Priere d’insérer de l’éditeur Première édition 2015)
Dans son exhortation apostolique La joie de l'Évangile, le pape François affirme la valeur de la piété populaire qu'il qualifie d'« œuvre de l'Esprit-Saint ». C'est un retour en grâce. Durant les années 1960 et 1970, les dévotions populaires étaient considérées par une partie du clergé comme une forme de paganisme dont il fallait affranchir les catholiques. Les saints sont congédiés des nefs, la communion solennelle supprimée et les fêtes votives délaissées. Le dominicain Serge Bonnet, à la fois prédicateur de talent et chercheur au CNRS, fut alors un des seuls à prendre au sérieux et à défendre la qualité spirituelle de ces pratiques.
Très proche de Raymond Aron et de Philippe Ariès, admiré par Maurice Clavel, il sera une figure médiatique de l'Église catholique durant les années 1970-1980. Avec un positionnement iconoclaste assumé, il attaquera violemment le néocléricalisme des avant-gardes de gauche durant les années 1970 et il affirmera l'autonomie des laïcs. Renvoyant dos à dos les traditionalistes et les progressistes, il défendra un christianisme incarné et la nécessaire liberté de conscience et de dévotion des catholiques.
' Lintérêt des écrits de Serge Bonnet ne se borne pas à ce seul horizon polémique. Inlassable compilateur d'archives et de mémoire, ses recherches sur le catholicisme populaire méritent d'entrer dans les classiques des sciences sociales. De la géniale histoire de l'ermitage de Saint Rouin à ses études sur la prière, la fête ou sur la domination cléricale, Serge Bonnet emprunte des pistes originales et renouvelle les analyses. Cet ouvrage rassemble pour la première fois ses recherches sur le petit peuple catholique et ses textes polémiques pour le défendre. L'œuvre de Serge Bonnet y apparaît dans toute sa densité, sa cohérence et sa profondeur, et nous plonge dans une des grandes querelles qui a divisé les catholiques après le concile Vatican I
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Défense du catholicisme populaire
de Serge BONNET
de Serge BONNET (Auteur), Daniel Rondeau (Postface), Yann Raison du Cleuziou, (Commentaires)
2016
PRIERE D INSERER (de la réédition) DE L EDITEUR
Durant les années 1960 et 1970, les dévotions populaires sont considérées par une partie du clergé comme une forme de paganisme dont il faut affranchir les catholiques. Les saints sont congédiés des nefs, la communion solennelle supprimée et les fêtes votives délaissées.
Le dominicain Serge Bonnet, à la fois prédicateur de talent et chercheur au CNRS, fut alors un des seuls à dénoncer les prétentions d’une élite religieuse à décider des formes de catholicisme légitime. Avec un positionnement iconoclaste assumé et un humour corrosif, il attaqua violemment le néo-cléricalisme des avant-gardes de gauche et affirmera l’autonomie des laïcs. Renvoyant dos à dos les traditionnalistes et les progressistes, il défendra un christianisme incarné et la nécessaire liberté de conscience et de dévotion des catholiques. Très proche de Raymond Aron et de Philippe Ariès, admiré par Maurice Clavel, ses interventions sont redoutées et ses ouvrages respectés.
De la géniale histoire de l’ermitage de Saint Rouin à ses études sur la prière, la fête ou sur la domination cléricale, Serge Bonnet emprunte des pistes originales et renouvelle les analyses. Cet ouvrage rassemble
pour la première fois ses recherches sur le petit peuple catholique et ses textes polémiques pour le défendre. Toujours à la frontière entre sociologie et histoire, l’oeuvre de Serge Bonnet y apparaît dans toute sa densité, sa cohérence et sa profondeur.
Serge Bonnet (1924-2015), dominicain de la Province de France, a fait carrière au CNRS et a été membre du Groupe de Sociologie des Religions. Sa tétralogie L’Homme du fer parue entre 1975 et 1985 est considérée comme un classique de l’histoire sociale de la Lorraine sidérurgique.
Édition établie et présentée par Yann Raison du Cleuziou, maître de conférence en science politique à l’Université de Bordeaux et chercheur au Centre Emile Durkheim (UMR CNRS 5116).
Les voeux du LESTAMP pour 2018
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Des cultures populaires
Métamorphoses Précarisation
Pérennisation
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Joëlle Deniot Jacky Réault
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LE SENTIMENT ESTHETIQUE
Essai transdisciplinaire
Sociologie Philosophie Esthétique Sémiologie Anthropologie
PARIS NANTES
A PARAITRE 4 Décembre 2017
Editions Le Manuscrit (Paris,
formats papier et numérique)
Joëlle-Andrée DENIOT
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PhotosPM
Réault.
Istanbul hiver 2008-2009 Vous avez dit
cultures populaires ? Ce
syntagme pose toujours problème puisqu’il
combine deux notions polysémiques à enjeux
sociaux forts. Par cultures populaires au
pluriel ( !) nous visons toute une
combinaison de pratiques où se donnent à
voir, à entendre, à comprendre des types de
symbolisations, de stylisations du rapport à
soi, à l’unité domestique, aux groupes
d’affiliations informelles ou
institutionnelles et ce dans des écosystèmes
sociaux toujours localisés, toujours
historiques [ Jacky Réault, 1989,1996,
2007]. Le terme de cultures populaires ne
renvoie pas au concept d’ambition
idéologique et homogénéisante de classe,
mais au concept plus descriptif de milieux à
paysage composite sur frontières floues.
Refoulé par les discours sociologiques
fuyant l’hétérogénéité (problématique des
champs focalisée autour de Pierre Bourdieu
en tête et problématique marxiste et
néo-marxiste incluses), effacé des discours
politiques délégués au novlang des
experts, parlé via le seul angle de la
dérision sur les scènes médiatiques, le
schème du populaire se heurte d’abord à
toute une série d’obstacles a priori de la
représentation qui en dissuade l’approche
théorique exigeante.
Ces obstacles sont
pourtant un peu vains puisque ou bien
réinventées sous le mode du revival
(langues, décors, apprentissages) ou bien
souterraines (Michel de Certeau ne voyait-il
pas le populaire comme cette strate la plus
silencieuse de la culture attachée à nos
gestes les plus quotidiens ?) ou bien
résistantes ou bien simplement, radicalement
diffuses, les cultures populaires ne cessent
de se manifester. Elles se manifestent dans
leur altérité (ne sont-elles pas cet étrange
étranger de l’intérieur ? Michel de
Certeau, encore) et a contrario dans leur
capacité à créer des imaginations communes-
cette instance décisive du passage à l’état
de société selon Castoriadis. Car le
populaire ne se réduit pas à sa plèbe (dans
le schéma vertical des stratifications) mais
renvoie également à ce qui réunit un
populus dans une histoire (selon le
schéma horizontal des singularités). Aussi
ces cultures populaires dans leur actualité
instable sont-elles l’un des topoi
décisifs de ce moment critique des sociétés
en ce monde contemporain dont nous cherchons
les problématisations transversales.
Des
identifications déstabilisées
Le
temps n’est plus où l’écrin-écran d’une
culture ouvrière [Joëlle Deniot, 1996]
d’abord mise en cohérence et en récit par
des appareils militants encore largement
représentatifs, pouvait servir de fiction
positivement identifiante pour des acteurs
dont la subjectivité ne s’est d’ailleurs
jamais réduite à cette seule dimension de
métier et de rapport social. Le tropisme
exercé par la culture ouvrière sur des
cultures apparentées par lignage, mariage,
proximité vicinale ou statutaire (paysanne,
artisane, salariés intermédiaires) est par
là même menacé de désuétude. Les cultures
populaires ayant perdu cet emblème
historique leur permettant de faire face au
désaveu, à la minoration quels sont les
ancrages conservatoires, les lieux et les
modes renouvelés de leurs expressions, de
leurs pratiques, de leurs mobilisations ?
-
N’est-ce pas dans ces mondes ruraux, si
déniés du modernisme, que les ethnographes
de la consommation (Nicole Tabard), les
sémiologues de l’espace continuent de
trouver le tissu le plus serré de
représentations, d’émotions, d’actions,
noyau d’un populaire encore rayonnant face
aux cultures sans sol des mégapoles ?
-
N’est-ce pas là aussi ou dans ces
ambivalents univers rurbains qu’un
ultime et vivace sanctuaire se manifeste
sous nos yeux, de ce que Roger Dupuy (Fayard
2002) nomme la politique du peuple, à
travers les révoltes usinières ?
-
N’est-ce pas aussi ce commun du
populaire que l’on retrouve, sous réserve de
le reconstruire, sous le marqueur
si trivial de la quantité marchande des
cultural studies (Stuart Hall, Eric
Maigret), mais plus surement dans la mémoire
vive de la chanson populaire grecque
d'Antigone Mouchtouris ?
Vers un monde
d’hommes dépeuplés ?
Cette
part de déréalisation du populaire est au
centre du questionnement de l’habiter
pris en ses sens allant du plus spatialisé
au plus intime. Ce qu’un « bon sens commun »
désigne comme fuite du sens, n’est-il
pas la perte de ces fondamentaux
anthropologiques, des sexes, des âges, des
ascendances, auxquels s’accrochent – ce
n’est peut-être pas seulement un préjugé-
les milieux populaires qui persistent à
s’identifier eux-mêmes ? Car il s’agit de
penser un monde non pas polarisé entre
culture populaire et culture savante, mais
un monde où se joue une mise en crise
réciproque des cultures populaires et des
cultures lettrées, également menacées par le
nivellement médiatique et central du monde
et cherchant séparément ou conjointement des
modes de résistance.
Joëlle Deniot, avec Jacky Réault, 27 janvier 2010, Projet de présentation d'un axe de recherche pour le laboratoire Habiter-Pips de l'Université de Picardie Jules Verne
Marché aux tissus à Istanbul hiver 2008-2009
Photos PM
Réault.
Le tissu ou le commun
(pour le moins) des femmes et non des seules femmes " du commun" (Photo PMR) Lisez aussi de Jacky Réault, l'application à une vaste étude exhaustive du territoire française de sa problématique du Populaire.
Nicolas et Ségolène ou le mystère de la Dame de Vix,
Une analyse en profondeur spatiale historique et statistique des socles sociétaux et anthropologiques, des degrés et formes de prolétarisation qui rendent compte des votes présidentiels et notamment populaires et ouvriers.
http://www.sociologie-cultures.com/
Dans le Menu Articles.
Extrait de cet article
Carte synthétique revue et complétée extraite de J Réault, Nicolas et Ségolène ou le mystère de la Dame de Vix, une sociologie politique des élections présidentielles en France référées aux écosystèmes sociaux de reproduction populaire (J R 1989) aux formes de prolétarisation (J Réault depuis 1977), in J Deniot, J Réault, Espace, Temps et territoires. Cahier du Lestamp N° 2 Nantes 2010.
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-Lire complémentairement,
www.sociologie.univ-nantes.fr/deniot-jauciyer-j/0/fiche___annuaireksup/&RH=SOCIOLOGIE_FR1
et www.sociologie-cultures.com/articles/nicolas.segolene.votes.ouvriers.presidentielles Nicolas et Ségolène ou le mystère de la Dame de Vix, réédition de Jacky Réault in J Deniot J Deniot, av. L Delmaire, Espaces, temps et territoires. Cahiers du Lestamp Nantes.
Sur l'exemple des Présidentielles de 2007, une sociologie politique du temps long des espaces français au regard des conjonctures.
et www.sociologie-cultures.com/tribune/retour.peuples. Retour des peuples, (Les milieux populaires du Non français de 2005, suivi de Peuple politique peuple social peuple sociétal. Deux inédits sur le site Pour un lieu commun des sciences sociales www.sociologie-cultures.com
__________________ Sociologie NANTES du LERSCO au LESTAMP, de Michel Verret à Joëlle DENIOT Jacky REAULT, Pierre CAM d'une classe DEVENUE mythique à l'interdit du "populaire" ; une mutation radicale ? |
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